Comme une pierre que l’on jette Honteux c’est pas de moi Rien a faire, il aime cette air Il sera juste content Sûrement de l’entendre Tu vois je n’ai pas oublié Oui je pense aussi a toi Pas sur le blog, mais tous les jours Horrible d’avoir un prénom aussi long Et pourquoi pas simplement titeuf
Belle qu’on ne sait la décrire
Dans le miroir du temps qui passe
Elle demeure infinie, et les rides s’effacent
Comme des souvenirs.
Cruelle à s’y méprendre
Colère libérée de l’entrave
Comme la naufrageuse, elle rejette l’épave
Au coeur si tendre.
Tendre, d’une douce tristesse
Dans un murmure de jalousie
elle redevient sirène, et nous donne l’envie
De prodigues caresse
Aime, voyage de l’enfer
Un monde de passions et de larmes
Et de joies partagées,
Avec toi qui désarmeQue je t’aime … la Mer.
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